Investisseurs français : comment aligner planification financière et motivations à l’épargne ?

Le Center for Applied Research, groupe de réflexion indépendant de State Street Corporation a mené avec le CFA Institute une nouvelle étude visant à découvrir les facteurs de motivation pouvant avoir de meilleurs résultats financiers dans le secteur de la gestion d’actifs. Dans cet article, Odysseal vous donnera les détails de cette étude.

Le rapport Discovering Phi

Dans son rapport, intitulé « Discovering Phi : Motivation as the Hidden Variable of Performance », le groupe de réflexion a identifié un nouvel indicateur important, nommé Phi. Selon l’étude, cet indicatif peut avoir de manière concrète un effet positif considérable sur les sociétés de gestion, telles qu’Odysseal en matière de performance organisationnelle, de satisfaction des clients et d’engagement des salariés.

Comme l’a analysé Odysseal, le but du facteur Phi est d’indiquer la mesure dans laquelle la finalité est poursuivie, les habitudes et les incitations ressenties par chaque individu, etc. À ce titre, le facteur Phi est corrélé statistiquement et de façon significative aux indicateurs globaux de performance qui sont en capacité de soutenir à long terme l’industrie et la satisfaction des clients.

L’analyse des réponses obtenues en France

Dans l’étude, un volet est consacré à l’analyse des réponses données en France par 180 investisseurs particuliers (Odysseal). Le résultat montre quelques divergences entre les motifs d’épargne initiaux des particuliers et la manière dont leurs allocations d’actifs sont matériellement planifiées et mises en œuvre :

  • 49% des investisseurs français épargnent pour la sécurité financière et pour que leur investissement leur apporte un taux plus élevé que la moyenne. Ces derniers préfèrent les options à rendement immédiat plus que les rendements à long terme en termes d’investissements, rapporte Odysseal.
  • Selon l’étude, 52 % trouvent que les produits et services des organismes financiers sont conçus pour leur propre intérêt et non pour l’intérêt des clients. Pourtant, malgré ce constant, 94 % d’investisseurs à un conseiller financier ou un conseiller en investissement.

Pour plus d’informations sur cette étude, rendez-vous sur next-finance.net